22 juillet 2004
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20 juin 2004
Tribune libre : fête de la musique
Aujourd'hui je laisse la parole à mon ami Iscariote Lefièleu, qui
nous laisse ici son billet d'humeur pour la fête de la musique de ce
lundi 21 juin.
" Quelle mouche piqua la peau bronzée aux ultrasviolets de Jack Lang, quand il lança cette fête de la musique ? Gràce à lui tous les 21 juin la musique est partout et pour tous. Fini le coucher de soleil , long et paisible du 21 juin qui nous promet un été radieux. Partout de la musique, quel beau cadeau ! Combien de groupes vont installer une scène miteuse, avec une sono pitoyable vomissant notes approximatives et larsen maltraitant nos tympans ? Tout cela pour prouver à tout le voisinage que si la musique tout le monde peut l'entendre, en jouer ( sous-entendu en jouer correctement) n'est pas donné à tout le monde.
Pour la fête des mères ( ou des pères, ou des grand-mères et tout ce que le lobby des fleuristes et autres commerçants peut encore nous imposer) personne n'égorge sa maman. Pourquoi donc traiter de manière si sauvage la musique, qui ne demande rien à personne ??
Tout cela pour reprendre 3 ou 4 titres de Téléphone, de Noir Désir , en chantant aussi juste que les décérébrés de la star academy qui ont, eux, la pudeur de se cantonner à la télévision ou à des concerts seulement fréquentés par une jeunesse à la cervelle atrophiée.
Heureusement tous les styles de musique sont représentés :. mauvais rappeurs, mauvais rockeurs, mauvais metalleux, je dois l'avouer tout cela est très démocratique. Je trouve même très émouvante cette communion dans la médiocrité musicale, du metal au rap en passant par la variété ringarde ( pléonasme ?) Tous unis main dans la main sur la même scène du massacre auditif !
Mais par pitié, pourquoi imposer à tous les passants, ce qui jusqu'à présent était réservé à des garages ou des caves mal insonorisés ?
Iscariote Lefièleu.
" Quelle mouche piqua la peau bronzée aux ultrasviolets de Jack Lang, quand il lança cette fête de la musique ? Gràce à lui tous les 21 juin la musique est partout et pour tous. Fini le coucher de soleil , long et paisible du 21 juin qui nous promet un été radieux. Partout de la musique, quel beau cadeau ! Combien de groupes vont installer une scène miteuse, avec une sono pitoyable vomissant notes approximatives et larsen maltraitant nos tympans ? Tout cela pour prouver à tout le voisinage que si la musique tout le monde peut l'entendre, en jouer ( sous-entendu en jouer correctement) n'est pas donné à tout le monde.
Pour la fête des mères ( ou des pères, ou des grand-mères et tout ce que le lobby des fleuristes et autres commerçants peut encore nous imposer) personne n'égorge sa maman. Pourquoi donc traiter de manière si sauvage la musique, qui ne demande rien à personne ??
Tout cela pour reprendre 3 ou 4 titres de Téléphone, de Noir Désir , en chantant aussi juste que les décérébrés de la star academy qui ont, eux, la pudeur de se cantonner à la télévision ou à des concerts seulement fréquentés par une jeunesse à la cervelle atrophiée.
Heureusement tous les styles de musique sont représentés :. mauvais rappeurs, mauvais rockeurs, mauvais metalleux, je dois l'avouer tout cela est très démocratique. Je trouve même très émouvante cette communion dans la médiocrité musicale, du metal au rap en passant par la variété ringarde ( pléonasme ?) Tous unis main dans la main sur la même scène du massacre auditif !
Mais par pitié, pourquoi imposer à tous les passants, ce qui jusqu'à présent était réservé à des garages ou des caves mal insonorisés ?
Iscariote Lefièleu.
18 juin 2004
Ravages poétiques
Passant au galop les sables du tombolo
Les antrustions s'égarent et suivent le rachimbourg
Qui pense à Hildegarrde et compulse un ordo
Tuant les bagaudes et rêvant de l'amour
Les antrustions s'égarent et suivent le rachimbourg
Qui pense à Hildegarrde et compulse un ordo
Tuant les bagaudes et rêvant de l'amour
7 juin 2004
Et les étoiles guident le navire...
La gibbeuse se reflétait dans les eaux calmes et tranquilles du
Lacydon. Le vent, léger et frais, hululait à l'unisson du frissonnement
des branches d'oliviers. Le cosmographe est là. Du haut des vingt
coudées de son gnomon, les ombres portées n'ont plus de secret pour son
oeil à la pupille aiguisée qui découvre l'obliquité de l'écliptique. Si
le flou trigonométrique persiste, la fraction de circonférence le place
en lattitude. Et l'observateur découvre.
Les inaccessibles terres des Hyperboréens font miroiter l'ambre et le cuivre, Et où le vent porte ses fils et la mer ses enfants, Basileia et Thulé lui ont tendu les bras. Et si la rancoeur obséquieuse des timouques n'exude pas la vaillance du voyageur, le Kekylistrion illumine son horizon et exalte les rameurs. " J'ai vu..."
Les inaccessibles terres des Hyperboréens font miroiter l'ambre et le cuivre, Et où le vent porte ses fils et la mer ses enfants, Basileia et Thulé lui ont tendu les bras. Et si la rancoeur obséquieuse des timouques n'exude pas la vaillance du voyageur, le Kekylistrion illumine son horizon et exalte les rameurs. " J'ai vu..."
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4 juin 2004
L'avenir, demain , peut-être.
J'entends dire ici et là, que le destin trismégiste de
l'humanité n'a aucun corollaire avec une quelconque inertie spirituelle.
Pourquoi pas ?
Mais alors l'avenir ne se trouve t-il pas dans une sympolitie mondiale ou universelle ? Que l'on ne veuille point en entendre les conséquences est dramatique pour une société, privillégiant l'idoatrie de bien piteux évergètes.
Bien à vous.
Pourquoi pas ?
Mais alors l'avenir ne se trouve t-il pas dans une sympolitie mondiale ou universelle ? Que l'on ne veuille point en entendre les conséquences est dramatique pour une société, privillégiant l'idoatrie de bien piteux évergètes.
Bien à vous.
3 juin 2004
Fulgurances quotidiennes
A l'ombre de l'abaton, le sitologue désarticulé se méfie de l'Uraeus
sournois et paradoxal. Hué par les laocrites, il se refuse à tout
discernement contradictoire. Loin ? Ailleurs ? mais par quelle
libellule ?
Virtuel, fou et sans grade, quel avenir nous promet la prophétie du non-sens commun ?
Derrière le parapluie de la haute damnation aniconique, l'aube s'époumone et transfigure la perpendicularité de notre existence.
Triste destin à la fois fuyant et pourpre, qui défigure l'anacoluthe du poète agnostique.
L'incontinence de la passion éxecutoire ne doit pas oblitérer la substance existentielle du devenir autoritaire et logorythmique de la raison pure. Sans ce paradigme où allons-nous ?
Virtuel, fou et sans grade, quel avenir nous promet la prophétie du non-sens commun ?
Derrière le parapluie de la haute damnation aniconique, l'aube s'époumone et transfigure la perpendicularité de notre existence.
Triste destin à la fois fuyant et pourpre, qui défigure l'anacoluthe du poète agnostique.
L'incontinence de la passion éxecutoire ne doit pas oblitérer la substance existentielle du devenir autoritaire et logorythmique de la raison pure. Sans ce paradigme où allons-nous ?
2 juin 2004
Illusions et irradiance
Et le génie humain s'énude dans une ostentation machiavélique et ubuesque.
1 juin 2004
Illumination
Les
portes s'ouvrent et les pupilles scintillent quand la valse des
sentiments sanguinolants se répercute en un éclair fulgurant de majesté.
Bienvenue sur mon blog.
Bienvenue sur mon blog.
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